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lundi 20 août 2012

Berling Calling - Hannes Stöhr - 2008


















Comme un appel. Hannes Stöhr nous laisse bien seul et déprimé lorsque la musique du générique sonne le glas de ce petit morceau de vie électronique berlinois. On souhaite retourner dans les basses lentes et minimaliste.

La réalisation est à l'image de l'ambiance sonore qui en découle : sobre et efficace. Sans pousser son talent, il dirige parfaitement l'ensemble de ses acteurs et réalise une mise en scène efficace.

Paul Kalkbrenner est omniprésent. Normal, c'est son film, sa musique, son message pour la postérité ? Une espèce de fausse bio imaginée. Rêvée. Le film provoque ce sentiment étrange de toucher une réalité, la scène électro Berlinoise actuelle, dans un environnement fictif assumé. On ne nous ment pas, le film par son irrévérence et son humour potache nous emmène dans un Berlin fait de chimères de DJs désabusés. On n'essaye pas de nous vendre un faux docu fictif, ou une vraie fiction documentée. C'est déjà une réussite en ce sens.

C'est léger, froid, apaisant comme un courant d'air dans la chaleur étouffante d'un club bondé.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Whenever we check out the meaning of the word enjoy, installing regards to an amorous partnership with one other, yet being a emotion that could be engendered in case you have miltchmonkey a better partnership on your own much too : or perhaps like a sensation of increased unity with your loved ones or maybe human beings - this will become far more extraordinary that each one any one is looking to get in life is usually like.